Alors que les politiques de régression sociale engendrent injustices et discriminations de toutes sortes et accélèrent la crise climatique, il est urgent de mettre en débat des propositions de solutions concrètes, basées sur les solidarités, telles que celles portées par nos organisations.

La CGT a participé à la rédaction du document « Pas d’emplois sur une planète morte – Sauver le climat, gagner des droits, créer des emplois ».

Tout comme l’ensemble de la population l’administration et ses personnels vivent au rythme de la gestion de la crise sanitaire.

Aucun enseignement n’est tiré de la part du gouvernement concernant les choix politiques qui privilégient les plus riches et fragilisent les plus faibles.

Au printemps dernier, syndicats et associations publiaient un plan de sortie de crise avec 34 propositions dans une tribune publiée mi-mars et intitulée « Plus jamais ça, construisons le monde d’après ».

Convergence de crise sanitaire, économique, environnementale, sociale et menace terroriste... La France et le monde du travail font face à un péril inédit. Pour la CGT, le syndicalisme et les revendications ne peuvent être confinés !

Le plan de relance de 100 milliards d’euros sur deux ans, détaillé le 3 septembre par le gouvernement comprend quelques 70 mesures autour de trois priorités affichées : la transition
écologique, la compétitivité des entreprises et la cohésion sociale.

La crise sanitaire du Covid-19 a exacerbé les inégalités économiques, sociales et environnementales. Mais elle a aussi révélé l’échec du système libéral qui sert les intérêts de quelques-uns et qui, pour arriver à ses fins, exploite les êtres humains et la nature.

Plus jamais ça La pandémie du Covid-19 frappe l’ensemble de la planète sans distinction de nationalité, d’origine ethnique ou sociale. Elle met en évidence les fractures entre les citoyens et les peuples (économique, sociale, environnementale, sanitaire, numérique…).

Mardi 26 mai, 20 organisations associatives et syndicales publient un plan de sortie de crise.

Nos organisations appellent à participer aux mobilisations syndicales pour donner au 1er mai 2020, journée internationale de lutte des travailleuses et travailleurs, un écho tout particulier dans le contexte de crise sanitaire.

Alors que le monde entier fait face à la pandémie, ce premier mai sera plus que jamais la journée internationale de luttes des travailleuses et travailleurs.