Suite aux différentes publications sur ULYSSE concernant le mouvement B (classement des demandes et mouvements), les élu.e.s CGT ont été interpellé.e.s à plusieurs reprises par des agents victimes de modifications de leur rang de classement sans avoir reçu aucune information de la direction générale.
Cette situation jette le discrédit sur l'ensemble du mouvement et démontre que la transparence, tant vantée dans les lignes directrices de gestion consciencieusement appliquées à la DGFIP,  est loin d'être effective.

La hausse des prix, qui ne cesse de s’accentuer, a entraîné mécaniquement une hausse du SMIC de 2,65 %, ce qui a contraint le gouvernement à relever l’indice majoré minimum de la fonction publique de 343 à 352 à compter du 1er mai 2022.

Le minimum de traitement pour les agent-es publics exerçant à plein temps est désormais de 1649,48 € bruts mensuels, ce qui représente une hausse de 42 € par mois.

Cette mesure est totalement insuffisante et inadaptée.

Les salarié.e.s du public et du privé, les retraité.e.s, les jeunes, rassemblant plus de 210 000 manifestants dans plus de 250 manifestations, partout en France, ont revendiqué des mesures rapides et concrètes pour une société soucieuse de l’avenir de la planète et d’un monde de paix.

Ces fortes attentes sociales et revendicatives sont indissociables de la démocratie.

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