près 48 jours de bombardements qui ont visé l’ensemble de la population de la Bande de Gaza, et qui ont détruit plus de la moitié de ses bâtiments et de ses infrastructures, après 48 jours de siège inhumain qui a privé la population d’eau, de nourriture et de médicaments, la trêve fragile qui a commencé le 23 novembre est une lueur d’espoir. Mobilisons-nous partout en France ce samedi 2 décembre.

Les fiches que vous nous avez fournies pour le présent GT sont malheureusement partielles, puisqu’elles ne concernent quasi exclusivement que les violences externes.

Rien sur les violences internes à l’administration ! Rappelons pourtant que la protection fonctionnelle les cible tout autant que celles venant des usagers...

Les violences, elles sont de toutes sortes : administratives, économiques, psychologiques, physiques, gynécologiques, sexuelles. Ça commence par la rétention de papiers et ça peut aller jusqu’au viol ou au meurtre parce qu’une « petite » violence autorise les violences les plus graves.

Les violences, elles sont partout, dans tous les milieux : riche, pauvre, avec ou sans emploi, jeunes, vieux, avec ou sans enfants, toutes les couches de la population sont concernées (enfin, les femmes de toutes ces couches…).

Communiqué commun des élu.e.s de la CAPN catégorie B : RECOURS EN ÉVALUATION PROFESSIONNELLE DES CONTRÔLEURS

L’ensemble des élu.e.s B de la CAP nationale, tous syndicats représentés, ont quitté, pour la seconde fois, la séance de recours contre l’évaluation ce jeudi 23 novembre, pour protester contre l’approche technocratique, comptable et déshumanisée de l’Administration dans l’analyse des recours.

La direction générale a fait le choix unilatéral de distribuer une prime aux seuls personnels ayant subi les dysfonctionnements de GMBI et cela contre l’avis des Organisations syndicales qui la réclamaient pour tout le monde. Cette prime s’inscrivait dans le cadre des négociations indemnitaires ouvertes le 12/09/2023.

La CGT Finances Publiques et l’intersyndicale DGFiP ont refusé de signer cette prime, qui allait créer une grande frustration pour les agents et agentes qui n’en bénéficieraient pas.

Nous avions vu juste !

Après un premier volet relatif à l’abondement des promotions de 20 % en 2024 et en 2025 signé par l’ensemble des organisations syndicales puis le rejet unanime de la prime à la galère GMBI qui exclut près de 74 000 agents, les négociations avec la Direction Générale sont entrées le 9 novembre dans une phase décisive en débutant les discussions relatives à la revalorisation pérenne de l’indemnitaire.

C’est le coup d’envoi du rendez-vous qui doit répondre enfin à nos attentes.

L’accord en santé du 26 février 2022 et l’accord en prévoyance du 20 octobre 2023 forment un tout. À l’origine, il ne devait y avoir qu’un seul accord, puis un accord prévoyance négocié dans la foulée de l’accord en santé.
Le processus a pris un an de plus, largement du fait du veto du ministère du Budget à établir en prévoyance des contrats obligatoires financés à 50 % par l’employeur, comme en santé.

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