Le 8 mars n’est ni la fête de la femme, ni la fête des mères ou encore moins la Saint Valentin. C’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, une journée de grève féministe de toutes et tous pour revendiquer et gagner l’égalité réelle au travail et dans la vie. C’est aussi une journée de solidarité avec les femmes du monde entier et de lutte contre les idées d’extrême droite sexistes et patriarcales.

Depuis que l’évaluation n’est plus corrélée directement au rythme de franchissement des échelons, la vigilance, voire l’intérêt des collègues pour cet exercice, a fléchi. Négliger cette étape serait pourtant une grave erreur. Tout d’abord, l’évaluation reste le marqueur de la  reconnaissance professionnelle. La DGFIP est en constante restructuration, principale pourvoyeuse de suppressions d’emplois publics, elle tient encore debout grâce à la conscience professionnelle de ses agents.

Gabriel Attal, Premier ministre, a annoncé lors de son discours de présentation de politique générale vouloir expérimenter la “semaine en 4 jours” dans la fonction publique d’Etat, qui est composée à 80% d’ingénieur·es, cadres et professions techniciennes et intermédiaires.

Le 8 mars n’est ni la fête de la femme, ni la fête des mères ou encore moins la Saint-Valentin. 

C’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, une journée de grève féministe de toutes et tous pour revendiquer et gagner l’égalité réelle au travail et dans la vie. 
C’est aussi une journée de solidarité avec les femmes du monde entier et de lutte contre les idées d'extrême droite sexistes et patriarcales. 

A la suite de la mise en place des lignes directrices de gestion, les CAP locales ont été supprimées, les recours en évaluation des agents sont revenus en CAP nationale.

De plus, la DG a décidé de fusionner les CAP des inspecteurs, IDIV, IP et AFIPA en une seule CAPN, en réduisant drastiquement le nombre d’élus (8 au lieu de 20 !).

Le CREP est maintenant devenu la pierre angulaire de la carrière.

À terme, le CREP pourrait également devenir un élément important de notre rémunération.

La mobilisation du monde agricole met en lumière un scandale. D'un côté, de plus en plus de paysans et de paysannes ne vivent plus de leur travail. De l'autre, les prix  de  l'alimentation explosent et les salariés sont toujours plus nombreux à être  en  difficulté  pour  manger correctement. Pourquoi ?

Marronnier du gouvernement, l’évolution du contrôle des arrêts de travail revient de façon régulière dans les interventions publiques des membres du gouvernement. Très souvent, il ne s’agit pas de répondre à la dégradation des conditions de travail ou de la prise en charge des problèmes de santé de la population mais bien plutôt de stigmatiser des salarié.e.s dont l’état de santé général se dégradera nécessairement du fait du recul de l’âge de départ en retraite.

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